Cette semaine, l’Environmental Working Group (EWG) mettait à jour son palmarès des aliments contenant le plus et le moins […]
Category Archive: La pratique
Trucs pratiques, gestes à appliquer au quotidien
Dans le Journal Métro ce matin, la journaliste Audrey Lavoie présente les cours de cuisine éthique que j’offrirai […]
J’en ai déjà parlé, je suis comme presque un million de québécois accro de l’émission Un souper presque parfait diffusée […]
Su Shian Yuang On s’attend à des merveilles d’un pays qui nous a donné le cinéaste Hou Hsiao-hsien […]
Pour un midi… ou pour la vie ! Le mois de mars, c’est pas mal le temps des […]
L’expo Manger santé et vivre vert se tiendra du 18 au 20 mars au Palais des congrès de […]
Frédéric Côté-Boudreau, bénévole de l’Association Végétarienne de Montréal, souhaite partager avec nous quelques idées pour ceux qui seraient intéressés par la transition vers le végétarisme.
—Nouvelle version disponible ici, mise à jour en octobre 2013.–
« Je suis d’accord avec ce que tu dis mais je ne pourrais pas devenir végétarien ». Vraiment ? Il y a probablement autant de façons de devenir végétarien qu’il y a de végétariens. Tous ceux qui sont passés par là vous le diront, c’est beaucoup plus facile qu’il ne le parait, il s’agit de trouver la bonne méthode. Ça vous dit d’essayer ? Voici quelques approches qui pourront vous aider à diminer votre consommation de viande :
- Modèle « trois repas »
- Modèle « trois listes »
- Modèle « extérieur/intérieur »
- Modèle « une journée à la fois »
- Modèle « défi »
Suggestions de livres de recettes végés Ceux qui me lisent depuis un moment savent que j’achète davantage de […]
Le petit déjeuner du Cagibi
Si on peut trouver du tofu brouillé dans presque tous les restos newyorkais, les brunchs montréalais sont encore très, très dépendants du travail des poules pondeuses pour leur traditionnel petit déjeuner tardif du week-end. Mais heureusement, on trouve quelques marginaux pour mettre du tofu à la poêle. Et tant qu’à être marginal, pourquoi pas bruncher le mardi ou le jeudi ? C’est possible au Cagibi.
Ouverture de Viva Granola, la première boutique végétalienne à Montréal
La rumeur qui avait commencé à courir en décembre est devenue réalité : depuis hier, les Montréalais peuvent faire leurs emplettes chez Viva Granola, la première boutique végétalienne en ville.
C’est depuis les débuts de Viva Granola sur Internet en 2007 que Brigit et Greg souhaitaient avoir pignon sur rue : « Ça a toujours fait partie des plans, raconte Brigit. On attendait juste le bon moment. » La jeune compagnie avait besoin de locaux plus grands, les clients étaient de plus en plus nombreux à vouloir venir chercher leur commande sur place et voilà, le grand coup a été donné et Viva Granola s’est installée sur St-Laurent, quelques pas au sud de la rue Rachel.
« Faire à manger, c’est comme rouler en bicycle. Une fois que t’as appris, t’oublies plus. » Les […]
La controverse autour de l’interdiction du foie gras au Bal de neige d’Ottawa

Il est peu fréquent que des questions touchant l’éthique et l’alimentation fassent les manchettes. C’est le cas depuis hier, alors que le « Bal de neige » d’Ottawa a annoncé que le chef Martin Picard serait remplacé par Michael Smith pour un souper au Musée canadien des civilisation. Picard a décidé de se retirer de l’événement après que le foie gras y eut été interdit. Des militants du Ottawa Animal Defence League (OADL) ont manifesté à la conférence de presse du Bal de neige et, par la suite, des commanditaires auraient demandé aux organisateurs de retirer le foie gras des menus proposés.
Une nouvelle année végé

Si la dernière semaine de décembre est celle des bilans, la blogosphère se nourrit de résolutions pour commencer l’année. Alors que Catherine Lefebvre encourage les beaux emballages en 2011, nombreux sont ceux qui, comme Marie-Claude Lortie, partagent leurs 10 résolutions alimentaires. Parmi toutes les résolutions des blogueurs bouffe, c’est celle de Mariève Savaria qui m’a le plus intéressée : Mariève décidé d’être végan pour les trente prochains jours et de partager avec nous ses repas sans viande. Inspirant !
Coups de coeur 2010
Un blog sans son bilan de fin d’année, ce serait comme un souper sans le petit digestif pour la route. Je n’échappe donc pas à la tendance de l’heure et vous offre, en vrac, mes coups de coeurs de l’année. Servez-vous.
2010 a connu ses excès comme le Double Down de PFK et autres gros trucs gras comme les breuvages à base de viande. Mais ça a aussi été une année où on s’est posé beaucoup de questions. On n’aurait pas imaginé il y a dix ans que la résistance d’un Happy Meal de McDo aux moisissures aurait fait couler autant d’encre. L’année qui se termine a aussi fait la part belle à l’alimentation locale et des pêches durables. Acheter des fraises californiennes en plein été devient scandaleux et on condamne les restos qui servent des poissons de la liste rouge.
Panna cotta à n’importe quoi
J’ai tendance à ne jamais répéter une recette. Ce serait comme me couper du plaisir de découvrir de nouvelles saveurs et peut-être aussi me ralentir dans ma recherche du plat parfait. Mais là, je dois avouer que depuis deux ou trois semaines, j’ai du refaire ces panna cotta une bonne demie douzaine de fois, dans toutes les variances possibles. À chaque fois, plaisir fou au bout de la cuillère. Pour un dessert prêt en moins de cinq minutes, on ne peut pas trouver mieux. Un gros merci à Catherine de qui je me suis inspirée pour faire ce miracle.
Pourquoi la dinde bio est-elle si chère ?
Cette semaine, la circulaire IGA propose des «jeunes dindons surgelés » à 1,19$ la livre pour le Butterball et à 0,99$ la livre pour le Exceldor assaisonné. C’est exactement le même prix que les tomates annoncées sur la même page. Pendant ce temps, les fermes St-Vincent à Saint-Cuthbert vendent leur dinde biologique à 6,80$ la livre. Comment s’explique une si importante différence de prix ?
So Nice vous offre 5000$ pour rendre le monde meilleur
Si on vous offrait 5000$ pour rendre le monde meilleur, qu’en feriez-vous ? C’est ce que demande So Nice, le fabriquant de boissons de soya de Burnaby, en Colombie-Britannique. Jusqu’au 31 décembre, vous pouvez proposer votre idée de développement durable en moins de 300 mots sur la page Facebook du concours et aller voter pour vos idées préférées. Et en janvier, les dix idées qui auront eu le plus de votes de même que dix idées sélectionnées par So Nice seront évaluées par un jury, dont j’ai l’honneur de faire partie, avec Lindsay Coulter, Valerie Lugonja, Celine MacKay, Raul Pacheco et Kate Trgovac.
Le cahier « Festin des Fêtes » du Devoir À quoi devrait ressembler le repas de Noël d’un lecteur du […]
Les accommodements raisonnables dans les soupers de famille !
C’est toujours en tournant la dernière page du calendrier qu’on réalise que les fêtes de fin d’année approchent. Et soudainement, ma boîte se remplit de courriels d’organisation et je me surprend à rêver au jour où Google inventera une application qui optimise les horaires de tout le monde et fixe les dates de partys. Mais c’est le téléphone de ma mère qui m’a rappelé qu’il y avait dilemme plus grave que les deux soupers le même soir, à savoir la complexité des repas de famille pour quiconque a décidé de faire un peu attention au contenu de son assiette : «es-tu encore végétarienne ? » Oui… « tu vas pouvoir manger de la viande pour une fois ? ». Euh… « du poisson ? » Euh…
Les pâtisseries « sans » du Petit Fourneau
J’ai toujours rêvé d’une maison qui prendrait des airs de celle en bonbons qu’on découvre dans Hansel et Gretel et je n’ai jamais compris pourquoi il fallait se taper tout le salé avant le dessert. Je crois bien que je n’aurais aucun problème à me nourrir que de pâtisseries. En autant qu’elles soient bonnes !
Revue de presse
Et voilà le dernier service. Des recettes, des suggestions de restos, les repas des soldats, de belles idées pour moins gaspiller, la liste de ce que les chefs refusent de manger au resto et même des biscuits pour avoir de gros seins. Après ça, le frigo est vide, je vous promets.
La pratique
Plusieurs de recettes appétissantes ont retenu mon attention ces dernières semaines : notamment le tofu braisé de Bittman, ses pains grillés libanais et ses aubergines farcies à l’indienne. Mark Bittman propose aussi de combiner maïs, ail et pâtes. Les végan sauront adapter en remplaçant le fromage par du faux ou de la levure alimentaire et le beurre par de la margarine ou un peu plus d’huile. On peut aussi faire cuire le maïs sur le BBQ. Et une dernière recette de Bittman : son céleri, tofu et super huile épicée absolument délicieux.
Les cours de cuisine végé à Montréal
Lu récemment sur Twitter : « pour faire de la télé, c’est pas le conservatoire qu’il faut faire, c’est l’ITHQ. » L’explosion du nombre d’émissions de télévision consacrées à la cuisine a élevé nombre de jeunes chefs au statut de vedette. Elle a aussi contribué à rendre sexy le métier de cuisiner et à donner envie à plusieurs de se mettre aux chaudrons. Le collège La Salle accueillait 20 nouveaux étudiants dans son programme de cuisine à l’automne 2007; ces jours-ci, ils sont plus de 60 à enfiler un tablier blanc. Sans aspirer à joindre la brigade de Normand Laprise, on peut nous aussi avoir envie d’affiner ses techniques de cuisine pour ensuite impressionner ses invités ou simplement mieux manger. Cet automne, c’est une cinquantaine de cours de cuisine différents qu’on peut suivre à Montréal.
Les films de bouffe
Le cinéma est aussi un moyen privilégié pour explorer les enjeux liés à l’alimentation. Les documentaires sur la nourriture se multiplient depuis quelques années et jouent un rôle central dans la sensibilisation du grand public sur les conséquences de nos choix alimentaires. Avec Alexandre Gagnon de l’Association végétarienne de Montréal et véritable vidéothèque vivante, je vous propose un top 10 de nos documentaires préférés.
Est-il éthiquement acceptable de manger certains animaux marins ?
Hier soir, j’étais invitée dans un restaurant portugais pour l’anniversaire d’une amie. Spécialités : grillades et fruits de mer. On est loin du paradis du végétarien. C’est alors que je me suis rappelé un article paru dans Slate en avril dernier qui allait peut-être sauver mon souper et ma moralité : « Manger des huitres ne fait pas de mal (même aux huitres)« . Au même moment, je me suis souvenu d’un autre article, celui-là sur les moules, qui les présentait comme l’aliment de demain, parce que nourrissant, peu polluant, facile à cultiver et résistant aux maladies. Existerait-il des animaux marins dont la pêche n’a pas d’impact écologique, qui ne souffrent pas et qui seraient bons pour la santé ? Bref, pouvais-je consommer sans remords autre chose que du pain imbibé d’huile portugaise ?
Ouverture de Fait ici et lancement de Ripe from around here
L’actualité de ce début d’été en alimentation éthique (si si, ça existe) est marquée par les nouvelles locales. Alors que les premiers paniers bios sont livrés, que les marchés de quartier s’installent et que le terme « locavore » fait son apparition dans le Larousse, un premier magasin général spécialisé en produits locaux, Fait ici, ouvre ses portes dans la Petite Bourgogne et Jae Steele lance son nouveau livre Ripe from around here.
Un charmant guide de légumes d’accompagnement (et plus si affinités)
Jérôme Ferrer nous propose un troisième tome à sa série « Les secrets ». Après les sauces et les desserts, c’est au tour des légumes de nous être révélés. Un format pratique, une mise en page séduisante, un calendrier des saisons, des conseils judicieux et surtout, plus de 200 recettes bien tentantes, des classiques aux inventions audacieuses: Ail confit, purée de fenouil et topinambours, mousseline de brocoli et bulbe de céleri-rave, brunoise de pommes de terre en persillade. Les recettes semblent toutes assez simples, avec quelques ingrédients seulement et, bonne idée, le temps de préparation et le degré de facilité sont indiqués. Les plats sont présentés comme des accompagnements ; on aura toutefois vite fait de leur donner la première place dans l’assiette. Un petit livre qui s’avère fort inspirant et accessible à tous. Et l’air de rien, Les secrets des légumes figure maintenant parmi mes livres préférés.
Les galettes Super Fu, une bonne alternative au soya
J’ai découvert il y a quelques semaines les galettes de sésame, tournesol et arachides Super Fu produits par La Soyarie, une entreprise de Gatineau. Elles sont tendres, riches, goûteuses et prêtes en quelques minutes. Ce midi, je les ai servies avec une salade de roquette, un peu d’humus et des germes de luzerne après les avoir faites revenir dans la poêle dans un peu d’huile.
Petits guides des fruits et légumes saisonniers
Quand j’étais petite, l’arrivée des premiers paniers de fraises signifiait pour moi la fin imminente des classes et l’ouverture des piscines. Et lorsque le maïs arrivait, c’était déjà le temps de se préparer pour la rentrée et de m’acheter de nouveaux crayons. Peut-être encore plus que le nombre d’heures d’ensoleillement, les fruits et légumes rythment nos vies et marquent les saisons. Et s’il y a un grand principe de cuisine éthique qui fait consensus, c’est bien celui-ci : manger des fruits et légumes locaux saisonniers. Consommer des produits de saison a quelque chose du sens commun, qu’on fait naturellement. L’été, on a envie de salades de petits fruits pour nous rafraîchir et nous énergiser alors qu’on sait qu’une casserole de légumes racines au mois de janvier va nous donner la chaleur et réconfort.
Ce midi, je recevais une douzaine d’amis pour partager avec moi mon brunch d’anniversaire. L’occasion était parfaite pour tester quelques recettes de Vegan Brunch de Isa Chandra Moskowitz, la Julia Child végan, auteur du célèbre Veganomicon. Émilie m’a prêté ce livre il y a un bon moment et je ne suis toujours pas capable de le lui rendre. J’ai littéralement envie de tout essayer, des omelettes au tofu aux crêpes en passant par les muffins, les pains, les sauces et les smoothies.
J’ai préparé les muffins au citron-pavot qui ont été un vrai succès. J’ai suivi la recette à la lettre mais elle serait sans doute encore meilleure si on utilisait de la farine d’épeautre au lieu de la farine blanche et du nectar d’agave plutôt que le sucre raffiné. J’ai aussi fait du tofu brouillé accompagné de pommes de terres grillées de « bacon » de tempeh (la recette est similaire à celle-ci). Quelques ovivores(!) ont trouvé le tofu brouillé un peu caoutchouteux, mais les consommateurs de caoutchouc et les autres invités ont bien aimé. Le bacon de tempeh en a surpris quelques uns, mais on en a aussi redemandé. Pour les habitués des brunchs végans, ça ressemblait beaucoup ce qu’on nous sert Aux Vivres. Ensuite, Martin (qui s’est aussi tapé toute la vaisselle – c’est mon anniversaire après tout), nous a fait des gaufres Chelsea à l’ancienne . Elles sont délicieuses lorsqu’elles viennent d’être cuites, mais deviennent rapidement assez dures. Ianik a proposé qu’on les recycle en crampons pour les bottes d’hiver. Heureusement, une divine crème de cachous à l’érable les accompagnait et parvenait à les ramollir (un peu).
Un panier végan qui tient dans un sac Cocotte.
Depuis presque un an, mon ami Alex suit les lundis sans viande. Bien qu’il soit touché par l’éthique animale, c’est surtout pour une question d’efficience qu’il a décidé de réduire sa consommation de viande. « L’argument économique en faveur du végétarisme est celui qui me touche le plus. Hubert Reeves le brandit régulièrement: si tous les habitants de la Terre suivaient la diète occidentale, y en a une méchante gang de plus qui mourraient de faim. » Récemment, Alex me disait qu’il avait décidé de ne plus manger de viande à la maison. « Ça solidifie la position la viande comme un événement spécial et ça permet de ne pas être le végétarien fatiguant dans les soupers d’amis ».
La position d’Alex est très proche de celle de Mark Bittman du New York Times dont j’ai parlé ici, dans un billet sur les flexitariens. Bittman a d’abord modifié ses habitudes alimentaires pour des raisons environnementales; c’est d’ailleurs une des principales idées qu’il défend dans son best seller Food Matters et qu’il expose dans la conférence qu’il a présentée à TED. Son véganisme à temps partiel a aussi été bénéfique pour sa santé. Il a perdu 35 livres, son taux de cholestérol a diminué de façon importante et surtout, il se sent en meilleure forme. Il ne s’empêche pas pour autant de mordre dans une entrecôte à l’occasion.
Paie-t-on le juste prix lorsqu’on achète des produits biologiques ? En rentrant du resto hier soir, Martin me […]
Le Long Jing Shi Feng, la vitalité retrouvée dans une tasse de thé. Samedi, fin d’après-midi. J’ai rendez-vous […]
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