On parle beaucoup de viande chez les Français depuis le début de l’année. Et ça dérange. Sans faire […]
Jonathan Safran Foer
Les arguments incarnés de Jonathan Safran Foer.
Je viens de terminer le dernier livre de Jonathan Safran Foer Faut-il manger des animaux? (Éditions de l’Olivier). Élise, qui en a déjà parlé dans sa version originale (Eating Animals) m’a demandé d’en dire quelques mots pour saluer la traduction française. Si j’ai accepté avec enthousiasme, c’est parce que je crois qu’il est hautement recommandable. C’est vraiment le genre de livre que j’ai envie d’offrir à mes amis.
Une nouvelle année végé

Si la dernière semaine de décembre est celle des bilans, la blogosphère se nourrit de résolutions pour commencer l’année. Alors que Catherine Lefebvre encourage les beaux emballages en 2011, nombreux sont ceux qui, comme Marie-Claude Lortie, partagent leurs 10 résolutions alimentaires. Parmi toutes les résolutions des blogueurs bouffe, c’est celle de Mariève Savaria qui m’a le plus intéressée : Mariève décidé d’être végan pour les trente prochains jours et de partager avec nous ses repas sans viande. Inspirant !
Coups de coeur 2010
Un blog sans son bilan de fin d’année, ce serait comme un souper sans le petit digestif pour la route. Je n’échappe donc pas à la tendance de l’heure et vous offre, en vrac, mes coups de coeurs de l’année. Servez-vous.
2010 a connu ses excès comme le Double Down de PFK et autres gros trucs gras comme les breuvages à base de viande. Mais ça a aussi été une année où on s’est posé beaucoup de questions. On n’aurait pas imaginé il y a dix ans que la résistance d’un Happy Meal de McDo aux moisissures aurait fait couler autant d’encre. L’année qui se termine a aussi fait la part belle à l’alimentation locale et des pêches durables. Acheter des fraises californiennes en plein été devient scandaleux et on condamne les restos qui servent des poissons de la liste rouge.
Pourquoi la dinde bio est-elle si chère ?
Cette semaine, la circulaire IGA propose des «jeunes dindons surgelés » à 1,19$ la livre pour le Butterball et à 0,99$ la livre pour le Exceldor assaisonné. C’est exactement le même prix que les tomates annoncées sur la même page. Pendant ce temps, les fermes St-Vincent à Saint-Cuthbert vendent leur dinde biologique à 6,80$ la livre. Comment s’explique une si importante différence de prix ?
Genèse de l’agriculture industrielle En 1946, nos voisins du sud organisaient le concours «The Chicken of Tomorrow» pour […]
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