Anthologie d’éthique animale: apologies des bêtes Si tu obstines à soutenir [que la nature] t’a fait pour manger […]
Philosophie
Je n’avais jamais entendu parler de Marcela Iacub avant de regarder un débat autour de notre rapport aux […]
Quel est le statut moral des animaux ? Les animaux ont-ils des droits ? A-t-on des devoirs envers eux […]
Les arguments incarnés de Jonathan Safran Foer.
Je viens de terminer le dernier livre de Jonathan Safran Foer Faut-il manger des animaux? (Éditions de l’Olivier). Élise, qui en a déjà parlé dans sa version originale (Eating Animals) m’a demandé d’en dire quelques mots pour saluer la traduction française. Si j’ai accepté avec enthousiasme, c’est parce que je crois qu’il est hautement recommandable. C’est vraiment le genre de livre que j’ai envie d’offrir à mes amis.
Le conséquentialisme et la souffrance inutile
Après l’éthique de la vertu et la cruauté, puis le déontologisme et le droit des animaux, je conclus cette série sur l’éthique animale avec le conséquentialisme. Des trois théories morales de bases, c’est sans doute celle-ci qui correspond le plus à l’esprit de ce blog.
Le chien de Malebranche et les couilles de Descartes
On raconte que, battant son chien, le philosophe Nicolas Malebranche aurait affirmé : « Ça crie mais ça ne sent pas ». Autrement dit, inutile de s’apitoyer : le chien ne souffrait pas. Mais quelle mouche avait donc piqué notre philosophe? Malebranche n’est peut-être pas un philosophe très connu (c’est un métaphysicien et théologien français du 17e siècle), mais il n’est évidemment pas connu pour avoir été particulièrement cruel – ou particulièrement con. Alors pourquoi cette affirmation incongrue?
L’éthique de la vertu et la cruauté Dans la tradition éthique anglo-saxonne, on a l’habitude de distinguer trois […]
Le sophisme naturaliste expliqué aux carnivores «Il est naturel de manger de la viande». Et toc. Cette objection […]