Pourquoi la dinde bio est-elle si chère ?

Cette semaine, la circulaire IGA propose des «jeunes dindons surgelés » à 1,19$ la livre pour le Butterball et à 0,99$ la livre pour le Exceldor assaisonné. C’est exactement le même prix que les tomates annoncées sur la même page. Pendant ce temps, les fermes St-Vincent à Saint-Cuthbert  vendent leur dinde biologique à 6,80$ la livre. Comment s’explique une si importante différence de prix ?

Les films de bouffe

Le cinéma est aussi un moyen privilégié pour explorer les enjeux liés à l’alimentation. Les documentaires sur la nourriture se multiplient depuis quelques années et jouent un rôle central dans la sensibilisation du grand public sur les conséquences de nos choix alimentaires. Avec Alexandre Gagnon de l’Association végétarienne de Montréal et véritable vidéothèque vivante, je vous propose un top 10 de nos documentaires préférés.

Les galettes Super Fu, une bonne alternative au soya

J’ai découvert il y a quelques semaines les galettes de sésame, tournesol et arachides Super Fu produits par La Soyarie, une entreprise de Gatineau. Elles sont tendres, riches, goûteuses et prêtes en quelques minutes.  Ce midi, je les ai servies avec une salade de roquette, un peu d’humus et des germes de luzerne après les avoir faites revenir dans la poêle dans un peu d’huile.

Fish and chips sans fish et sans chips.

On a du mal à s’imaginer une gang de gars allant souper Aux Vivres après leur game de hockey. La cuisine végétarienne a tendance à être une affaire de filles – pour chaque végétarien, il y aurait deux végétariennes. Reste que plusieurs gars, sans être complètement végétariens, décident de réduire leur consommation de viande et de produits d’origine animale. En attendant que la Cage aux sports offre des végéburgers et à quelques semaines des séries de la Coupe Stanley, j’ai essayé de voir ce que pouvait être de la bouffe de gars végétalienne.

Mon meilleur souvenir de bouffe de gars, c’est à Londres, avec Michel. Un samedi après-midi, on est dans un pub qui a des apparences de wagon de métro à l’heure de pointe. On assiste à un match de foot (ne me demandez pas qui jouait!). Évidemment, on commande un fish and chips. Mon premier – et dernier – à vie. Un plat qui n’a en apparence rien pour me plaire – un poisson sans nom entouré de panure, puis fruit, et accompagné de frites pour faire équilibré. J’avais pourtant adoré, et quelques années plus tard, j’en garde toujours un souvenir assez heureux.

Pour ma première tentative de bouffe de gars végan, j’ai essayé de reproduire le fish and chips londonien. Sans poisson et sans friture.